AtremoPlus L-Dopa naturelle: des niveaux d’énergie plus élevés!

Dans cette nouvelle édition de notre bulletin d’information, nous allons traiter d’un sujet fondamental : l’énergie.

Alors qu’il peut être difficile de maintenir et cultiver son énergie avec une vie parfois exigeante et stressante, cela devient encore plus délicat pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson. La dopamine est un neurotransmetteur essentiel pour se sentir en forme, or sa disponibilité étant réduite cela se traduit généralement par un manque d’énergie.

Nous sommes donc ravis de constater qu’au cours de notre récent sondage, les deux groupes les plus touchés par un niveau “très faible d’énergie” et “faible d’énergie” ont diminué de 85,2%.
Un nombre considérable de personnes ont pu évoluer vers la catégorie de bon niveau d’énergie.
Seulement 11,4% des personnes de ces deux groupes présentant le moins d’énergie n’ont constaté aucun changement dans leur état énergétique.
 
Le manque d’énergie chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson peut avoir diverses origines. Il s’agit d’ailleurs habituellement d’une combinaison de plusieurs facteurs défavorables.
Dans cette 1ère partie, nous allons voir l’impact du manque d’énergie sur les 10 problèmes les plus courants dans la maladie de Parkinson, ainsi que les conséquences sur la vie quotidienne.
Puis, nous vous partagerons quelques suggestions et idées en vue de mettre en place de nouvelles routines afin de regagner du terrain, aussi dans le domaine de l’énergie.

1 – l’impact du manque d’énergie dans la maladie de Parkinson en 10 points :

 
1. Une fatigue excessive : Même après un repos adéquat, les personnes peuvent ressentir une fatigue extrême et chronique.
 
2. Une lenteur des mouvements : La bradykinésie est un symptôme courant de la maladie de Parkinson. La lenteur des mouvements peut entraîner une dépense énergétique accrue même pour effectuer des tâches simples.
 
3. Une faiblesse musculaire et une rigidité : Les troubles moteurs associés à la maladie de Parkinson, tels que la rigidité musculaire et les tremblements, peuvent entraîner une faiblesse musculaire généralisée, ce qui peut contribuer à une sensation de manque d’énergie.
 
4. Une perte de motivation : Le manque d’énergie peut également être associé à une perte de motivation ou à une diminution de l’intérêt pour les activités quotidiennes.
 
5. Une somnolence diurne excessive : De nombreuses personnes atteintes de la maladie de Parkinson éprouvent une somnolence excessive pendant la journée, ce qui peut interférer avec leur niveau d’énergie et leur capacité à fonctionner normalement.
Les origines de ce phénomène sont multiples. Certains médicaments utilisés pour traiter la maladie de Parkinson sont connus pour avoir des effets secondaires telles que la fatigue ou la somnolence.
 
6. Des troubles du sommeil : Les problèmes de sommeil, tels que l’insomnie ou les mouvements périodiques des jambes pendant le sommeil, sont fréquents chez ces personnes. La récupération et la régénération liées à une bonne nuit de sommeil sont absentes le matin au levé, s’installe alors la sensation d’une grande fatigue tout au long de la journée.
 
7. Une dépression et anxiété : La dépression et l’anxiété sont fréquentes chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, et ces troubles peuvent également contribuer à un sentiment de fatigue et de manque d’énergie ainsi qu’à un manque de la motivation.
 
8. Des troubles de la motricité fine : Les mouvements altérés et la coordination réduite associés à la maladie de Parkinson peuvent rendre les tâches quotidiennes, telles que l’habillage, la préparation des repas ou l’écriture, plus fatigantes et énergivores.
 
9. Difficultés de la parole et de la déglutition : Les troubles de la parole et de la déglutition, courants chez ces personnes, peuvent nécessiter un effort supplémentaire pour communiquer et avaler. Il est frustrant de répéter sa phrase plusieurs fois sans se faire comprendre, notamment par téléphone. De même qu’avaler de travers est très inconfortable et peut entrainer des crises de toux irritantes. Il va sans dire que ces difficultés entrainent également une perte d’énergie.
 
10. Effets cognitifs : Les changements cognitifs liés à la maladie de Parkinson, tels que les problèmes de mémoire et de concentration, peuvent entraîner une fatigue mentale accrue. On sait que le cerveau par lui-même consomme beaucoup d’énergie en temps normal, or quand on doit chercher constamment dans sa mémoire pour se rappeler de détails dans notre quotidien, cela peut impacter également le niveau d’énergie global.
 
Bien entendu, ces difficultés peuvent varier d’une personne à l’autre en fonction des facteurs individuels. Néanmoins, il est certain que les personnes atteintes de Parkinson doivent lutter davantage pour disposer des ressources énergétiques nécessaires pour mener leur vie.

2 – Les conséquences du manque d’énergie sur la vie quotidienne


À la lecture des 10 points ci-dessus, on comprend que tout devient plus compliqué en matière de gestion de l’énergie pour une personne avec la maladie de Parkinson.
Les tâches qui, en temps normal et aux circonstances normales, se font machinalement avec facilité, deviennent une véritable montagne à gravir.
Ceux qui ne connaissent pas cette problématique ont parfois du mal à comprendre, cela peut rendre la situation encore plus pénible et créer des tensions.

Il est intéressant, à ce stade, de considérer l’impact de cette perte et manque d’énergie sur la vie en général :
 
1. Fatigue chronique : Les tâches quotidiennes deviennent des montagnes à franchir, voire des obstacles. Il peut en découler en sentiment de dévalorisation par rapport au regard des autres, et de résignation par rapport à sa vie.
 
2. Diminution de la qualité de vie : La capacité à participer à des activités sociales ou à maintenir ses passe-temps favoris est limitée. On ne profite plus pleinement de la vie.
 
3. Impact sur l’autonomie : Comme l’énergie manque, il y a beaucoup de tâches quotidiennes qu’on ne fait plus, s’installe alors une dépendance aux autres. Ce manque d’autonomie peut ébranler le sentiment de dignité et générer de la frustration, voire de la colère.
 
4. Difficultés dans les relations sociales : Les interactions sociales deviennent plus épuisantes et difficiles, ce qui peut entraîner un isolement social. De même que les liens avec les amis et la famille peuvent s’effriter.
 
5. Augmentation du stress et de l’anxiété : Le stress et l’anxiété sont liés à la maladie de Parkinson en raison d’une gestion plus compliquée du quotidien, par conséquent le manque d’énergie peut amplifier ce stress et cette anxiété et ainsi créer un cercle vicieux.
 
6. Altération de l’humeur : Malheureusement le niveau émotionnel, est très souvent impacté. Quand on manque d’énergie, on est plus facilement irritable et l’estime de soi est à la baisse. Le sentiment d’un bien-être émotionnel se rarifie.
 
7. Difficultés dans les activités quotidiennes : les activités simples du quotidien, comme se lever, se laver et s’habiller sont plus pénibles et chronophages, ce qui peut entraîner là encore une frustration et une perte d’indépendance.

En cliquant sur l’image ci-dessous, vous allez voir une petite vidéo très intéressante sur la L-Dopa et ses fonctions : 

3 – Que peut-on faire pour mieux gérer cette perte d’énergie ?

 
Même si certaines situations peuvent paraitre compliquées à changer, nous sommes convaincus que chaque personne peut accéder à ses propres ressources pour rétablir une meilleure connexion avec son corps. De simples petits changements dans son quotidien, peuvent avoir d’agréables résonances dans son corps.
Chez AtremoPlus, nous sommes à vos côtés pour vous aider à sortir d’un sentiment de résignation en vue de regagner du terrain.
Certaines suggestions pourraient sembler des évidences, mais les nommer peut être un moteur positif et encourager certaines personnes.

Voici donc quelques astuces et conseils pour mieux gérer votre capital d’énergie :
 
1. Planification et organisation : nous vous proposons d’établir un planning quotidien qui tiendra compte des moments où votre énergie est généralement au plus haut. Il est important de réserver ces moments pour les tâches les plus importantes ou les activités que vous appréciez le plus. Bien sûr, il est primordial d’adapter cette planification à la situation réelle de votre journée et vous laisser guider par votre intuition.
Mots clés : observez-vous et ressentez
 
2. Priorisation des tâches : Identifiez les tâches les plus importantes et concentrez vos efforts sur celles-ci. N’hésitez pas à déléguer les tâches moins importantes ou à demander de l’aide lorsque cela est nécessaire. Il est également intéressant de suivre ce qui vous apporte le plus de plaisir et d’écouter vos envies. Ce qui procure de la joie est souvent en lien avec plus d’énergie. Vous pouvez ainsi corréler vos priorités à un baromètre de joie intérieure, ce que nous n’avons pas toujours appris à faire dans notre vie.
Mots clés : lâcher-prise et Joie.
 
3. Économie d’énergie : Adoptez des stratégies pour économiser votre énergie, comme utiliser des aides techniques pour les tâches physiques, prendre des pauses régulières et fractionner les tâches en petites étapes réalisables.
Mots clés : Prenez soin de votre rythme
 
4. Gestion du stress : Pratiquez des techniques de relaxation telles que la respiration profonde, la méditation ou le yoga pour réduire le stress et l’anxiété, qui peuvent aggraver la fatigue. En général, moins de stress signifie plus d’énergie.
Mots clés : Prenez du recul
 
5. Alimentation équilibrée : Adoptez une alimentation saine et équilibrée pour maintenir un niveau d’énergie stable tout au long de la journée. Privilégiez les aliments riches en micro-nutriments, comme les fruits et les légumes. Peut-être avez-vous la possibilité de faire un petit potager et de planter vos propres légumes et fruits, avec des variétés anciennes qui donnent davantage de nutriments ?
Mots clés : Nourrissez-vous de la nature
 
6. Activité physique adaptée : Pratiquez régulièrement une activité physique adaptée à vos capacités, comme la marche, la natation, le tai-chi ou le tennis de table. L’exercice peut aider à améliorer l’endurance, la force musculaire et la qualité du sommeil, ce qui peut contribuer à une meilleure gestion de l’énergie.
Mots clés : Le mouvement comme dynamo
 
7. Gestion du sommeil : Assurez-vous de bénéficier d’un sommeil de qualité en adoptant de bonnes habitudes de sommeil, comme avoir une routine régulière de coucher et de lever, créer un environnement propice au sommeil et éviter les stimulants avant le coucher.
Mots clés : Régénération et réparation
 
8 . Communication avec les proches : Informez votre famille, vos amis et vos soignants de vos besoins en matière de gestion de l’énergie et sollicitez leur soutien lorsque nécessaire. Communiquer ouvertement peut contribuer à une meilleure compréhension et à un soutien approprié. Un manque de communication peut générer des problématiques sous-jacentes et des malentendus. Parfois, les proches ont l’impression que la personne est boudeuse alors qu’en réalité, c’est lié à un masque, assez typique dans la maladie de Parkinson, pour ne citer qu’un exemple.
Mots clés : Communiquer et Bienveillance
 
9. Activités qui ont du sens : Le diagnostic de la maladie de Parkinson peut entraîner un découragement, la personne peut même partir dans une spirale négative. Cependant, pour régénérer des neurones et des synapses (voir la Lettre d’Information N*9 ci-dessous sur la plasticité du cerveau), il est important de continuer à apprendre au quotidien et de faire des activités. Il est reconnu que les activités qui font du sens sont souvent celles qui donnent le plus d’énergie. Comme transmettre un savoir-faire ou partager une passion avec des personnes qui en ont besoin ou passionnées par le sujet. Cela peut également prendre la forme de la mise en œuvre d’un projet que vous ne vous êtes jamais autorisé à faire, ou creuser un domaine que vous avez toujours voulu approfondir. En plus de l’énergie créée en vous, ces activités vont demander à votre cerveau de s’adapter et de générer les ressources nécessaires (au niveau neuronal également) pour y arriver.
Mots clés : Faire du sens et Innovation
 
Nous espérons que ces informations vous aideront à mettre en place de nouvelles habitudes (si nécessaire), ou à mieux visualiser comment regagner du terrain afin d’optimiser vos réserves énergétiques actuelles et les nouvelles à venir.
 

Quels sont les mécanismes sous-jacents qui entraînent un manque d’énergie dans la maladie de Parkinson, et comment les principes actifs de la Vicia faba peuvent améliorer ces paramètres ?


Nombre de nos clients ressentent un regain d’énergie qui facilite le démarrage de nouvelles activités. Grâce à AtremoPlus, ils témoignent d’avoir davantage d’énergie, tant nécessaire dans le cadre de la maladie de Parkinson.
 
Dans notre prochaine newsletter, nous approfondirons ce sujet afin de mieux comprendre les mécanismes physiques et physiologiques responsables de ce manque d’énergie.

Nous procéderons également à une analyse détaillée des principes actifs présents dans la Vicia faba, qui constitue la base de notre complément alimentaire AtremoPlus. Nous explorerons ainsi comment ces principes actifs peuvent contribuer à optimiser la situation énergétique.

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Avis de non-responsabilité :
Veuillez noter que ce blog fournit des informations sur notre complément alimentaire AtremoPlus et sur des sujets connexes.

Ce blog n’est pas destiné à fournir des conseils médicaux.
Si vous avez des questions d’ordre médical, veuillez contacter votre professionnel de la santé.

Références :

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Ryu, Jaihyunk, et al. “Fatty acid composition, isoflavone and L-3, 4-dihydroxyphenylalanine (L-dopa) contents in different parts of faba bean (Vicia faba) genotypes.” Plant breeding and Biotechnology 5.4 (2017): 314-324.

Kempster, P. A., and M. L. Wahlqvist. “Dietary factors in the management of Parkinson’s disease.” Nutrition reviews 52.2 (1994): 51.

Nikkhah, Karim, et al. “Efficacy and safety of Vicia faba L. extract compared with levodopa in management of Parkinson’s disease and an in-silico phytomedicine analysis.” International Journal of Ayurvedic Medicine 14.3 (2023): 794-800.

Rijntjes, Michel. “Knowing your beans in Parkinson’s disease: a critical assessment of current knowledge about different beans and their compounds in the treatment of Parkinson’s disease and in animal models.” Parkinson’s Disease 2019 (2019).

Vered, Y., et al. “Bioavailability of levodopa after consumption of Vicia faba seedlings by Parkinsonian patients and control subjects.” Clinical neuropharmacology 17.2 (1994): 138-146.

Morais, L. C. S. L., J. M. Barbosa-Filho, and R. N. Almeida. “Plants and bioactive compounds for the treatment of Parkinson’s disease.” Arquivos Brasileiros de Fitomedicina Científica 1 (2003): 127-132.

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