AtremoPlus : le puissant phénomène naturel de la réparation de notre expression génétique !
La génétique est un domaine fascinant. Notre code génétique renferme l’ensemble de l’architecture et des commandes qui, en premier lieu, permettent de façonner notre corps, de le faire grandir, puis de le maintenir en bon fonctionnement, malgré les multiples agressions auxquelles notre organisme est exposé. C’est une lutte permanente pour trouver un équilibre que l’on appelle homéostasie.
Nous ne réalisons pas pleinement ces mécanismes extraordinaires de renouvellement constant de notre organisme à une vitesse phénoménale. Notre code génétique est le plan qui organise ce renouvellement, lié à l’incroyable intelligence de notre corps qui fabrique des milliards de cellules, les assemble pour former chaque tissu, et finalement chaque organe, constituant ainsi l’ensemble de notre corps avec son fonctionnement complexe.
D’après les résultats de notre récent sondage, 59 % des participants ont indiqué qu’ils peuvent désormais reprendre des activités qu’ils avaient abandonnées auparavant. Ce pourcentage est d’autant plus remarquable dans la mesure où il ne prend pas en compte ceux qui, malgré les difficultés, n’ont jamais interrompu leurs activités préférées, mais constatent une amélioration grâce à la prise d’AtremoPlus.
Selon trois études récentes menées sur notre complément alimentaire naturel en lien avec la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, il pourrait y avoir une corrélation entre la reprise des activités et un phénomène naturel et incroyablement important que la science appelle épigénétique.
Qu’est-ce que c’est l’épigénétique naturelle et comment elle peut impacter notre organisme ?
L’épigénétique désigne les modifications de l’expression des gènes sans altération de la séquence d’ADN, jouant un rôle crucial dans le contrôle des processus biologiques et dans la réponse aux facteurs externes et certains facteurs internes.
Pour mieux appréhender la notion, on pourrait assimiler notre organisme et son maintien selon les instructions génétiques à une pièce de théâtre. L’épigénétique serait alors en analogie reliée à la qualité du metteur en scène, des acteurs, des costumes, de la lumière, des décors, des conditions de travail, du stress, du public qui impactent considérablement la façon dont la pièce est interprétée.
Cependant, avec l’avancée en âge, certains des scripts de cette pièce deviennent illisibles, engendrant une interprétation erronée. De manière similaire, dans notre corps, certaines informations lors de la division cellulaire deviennent illisibles, conduisant à la production de protéines mal repliées et inutilisables. Des maladies telles que Parkinson et Alzheimer se caractérisent, entre autres, par l’accumulation de plaques cérébrales constituées de protéines mal repliées.
De nombreux facteurs tels que l’hygiène de vie, la sédentarité, la nutrition, le stress et les interactions sociales influent sur cette épigénétique complexe.
La bonne nouvelle est que l’épigénétique fonctionne dans les deux sens !
Bien qu’avec l’âge, l’organisme puisse parfois avoir du mal à déchiffrer les scénarios et se mettre à produire des protéines mal dépliées, l’épigénétique indique clairement que ce processus est naturellement réversible, comme le démontrent les études sur notre complément alimentaire naturel.
Il est toutefois essentiel d’incorporer les bons ingrédients pour inverser la tendance, tels que l’activité physique, les défis intellectuels, l’apprentissage, et l’exercice cognitif, idéalement dans une activité significative et gratifiante.
L’épigénétique dépend également de la qualité des nutriments, car elle constitue la base de la fabrication des molécules qui forment notre corps. Fournir les bons ingrédients et principes actifs à notre organisme facilite la construction correcte des molécules et a ainsi un impact notable sur l’épigénétique.
Bruce Lipton, l’un des experts les plus avancés dans le domaine de la biologie cellulaire et de l’épigénétique, nous dit : « Nous ne sommes pas victimes de notre hérédité, nous sommes maîtres de notre hérédité, car nous pouvons changer les choses ».
Et nos études prouvent que l’on peut inverser des processus et regagner du terrain !
Il est particulièrement important en science de démontrer les choses sur un plan concret. Ainsi, nous sommes ravis des résultats de trois études menées dans le domaine de la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, mettant particulièrement en lumière l’impact d’AtremoPlus sur des facteurs épigénétiques.
Il devient de plus en plus évident que la dérégulation épigénétique soit un contributeur clé au développement de la plupart des maladies neurodégénératives telles que Parkinson, Alzheimer, la sclérose en plaques, ou encore la maladie de Charcot. Il est donc tout à fait naturel de chercher des éléments naturels qui peuvent avoir un impact positif sur l’épigénétique, aidant ainsi à produire à nouveau des protéines qui se déplient correctement dans le cerveau et remplissent leur rôle normalement.
Et, il s’avère que l’alliance incroyable des oligoéléments contenus dans AtremoPlus favorisent grandement ce déploiement correct des protéines pour refabriquer un corps en meilleure condition. C’est en quelque sorte un rajeunissement biologique en regagnant des facultés biologiques perdues.
Les études sur Alzheimer et Parkinson ont pu démontrer qu’un biomarqueur épigénétique très important, la méthylation, s’améliore grandement après la prise des ingrédients actifs contenus dans AtremoPlus.
Mais est-ce que cette amélioration épigénétique a aussi un réel impact sur l’état d’être des personnes ?
Un biomarqueur est avant tout intéressant pour déterminer si et à quel point une personne est concernée par une affection telle que Parkinson ou Alzheimer, sans l’exposer à des diagnostics lourds, longs et complexes. La méthylation s’est avérée être en effet un biomarqueur intéressant pour Parkinson et Alzheimer. Le test est peu coûteux, fiable, rapide et facile à mettre en œuvre.
Cependant, afin de démontrer qu’il a vraiment une importance clinique, il est indispensable de relier les améliorations de ce biomarqueur de la méthylation à une amélioration de l’état clinique des personnes.
Dans le cadre des études sur Atremoplus, les tests utilisés pour démontrer l’évolution positive de l’état clinique ont été le MMSE et GDS. Le Mini-Mental State Examination test (MMSE) repose sur une dizaine de consignes évaluant l’orientation spatio-temporelle, la compréhension orale et écrite, la mémoire, l’attention, la concentration et la visuo-construction. Le test de l’Échelle de Dépression Gériatrique (GDS) évalue 15 questions pour voir le degré de dépression d’une personne.
La bonne nouvelle est que les améliorations de la méthylation ont pu être clairement et significativement corrélées à une amélioration de l’état cognitif et d’humeur des participants. Autrement dit, les résultats des tests ont été significativement améliorés suite à la prise d’AtremoPlus.
De multiples possibilités de nous éloigner d’une dégénérescence trop rapide et de regagner du terrain !
Dans notre dernière newsletter, nous avions appris que nous avons le pouvoir de ralentir la dégénérescence des neurones et même de recréer des neurones et des synapses grâce à la plasticité du cerveau.
Nous avons maintenant aussi la preuve que nous pouvons améliorer notre expression génétique, permettant ainsi à nos protéines de se déplier correctement et de remplir à nouveau leur rôle dans le fonctionnement biologique. Cela contribue à maintenir notre corps et notre esprit en bonne forme, avec un meilleur état cognitif et un meilleur moral.
Nous disposons ainsi de leviers puissants pour regagner du terrain, et rien que le fait de le savoir peut donner des ailes et la motivation pour se challenger et repousser ses limites.
Dans cette dynamique, AtremoPlus peut s’avérer être un allié puissant qui facilite cette reconquête sur de multiples niveaux, avec des résultats tangibles, comme le rapportent nos clients, aussi dans la reprise et l’amélioration de leurs activités.
En quintessence, cette nouvelle science de l’épigénétique nous dit que :
Les aliments et nutriments que vous mangez, l’air que vous respirez, l’eau que vous buvez, les pensées qui vous traversent, les sentiments que vous ressentez, l’exercice que vous faites et le mode de vie que vous menez peuvent tous influencer puissamment votre expression génétique, et ainsi votre fonctionnement biologique et mental.
Nous vous souhaitons une bonne reconquête de vos activités et de la joie dans une épigénétique améliorée. Elle sera d’autant plus puissante que vous recommencerez à déployer vos ailes et à partir à la reconquête de votre monde.
Ce contenu peut être important pour les personnes qui ont besoin de cette solution naturelle. Merci de partager !
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Avis de non-responsabilité :
Veuillez noter que ce blog fournit des informations sur notre complément alimentaire AtremoPlus et sur des sujets connexes. Ce blog n’est pas destiné à fournir des conseils médicaux.
Si vous avez des questions d’ordre médical, veuillez contacter votre professionnel de la santé.
Références :
Les études mentionnées ont été publiés dans les révues scientifiques de “Genes”, “Pharmaceuticals”, “Current Pharmacogenomics and Personalized Medicine” (Formerly Current Pharmacogenomics), “Medical Research Reviews”, “Ageing Reserach Reviews” and “Biology”. Pour des raisons juridiques, nous ne pouvons pas citer directement ces études. » (Nous pouvons transmettre ces études à des professionnels de santé qualifiés sur demande).
Il y a également des études indépendantes qui ont été réalisées sur la Vicia faba qui est la plante à la base d’AtrmemoPlus :
Żabka, Aneta, et al. “Epigenetic modifications evidenced by isolation of proteins on nascent DNA and immunofluorescence in hydroxyurea-treated root meristem cells of Vicia faba.” Planta 258.5 (2023): 95.
Srivastava, Shilpi, Francisco Fuentes, and Atul Bhargava. “Insights in Plant Epigenetics.” Integrative Approaches to Biotechnology. CRC Press, 2024. 3-28.
Prabahar, A. A., et al. “An investigation into the world of protein-based therapeutics-Therapeutic Proteins.” J Clin Med Res 5.3 (2023): 83-113.
Moran, Valentina Echeverria, et al. “Estrogenic plants: to prevent neurodegeneration and memory loss and other symptoms in women after menopause.” Frontiers in pharmacology (2021): 993.
Maitra, Urmila, Cayman Stephen, and Lukasz M. Ciesla. “Drug discovery from natural products–Old problems and novel solutions for the treatment of neurodegenerative diseases.” Journal of Pharmaceutical and Biomedical Analysis 210 (2022): 114553.
Mechchate, Hamza, et al. “Vegetables and their bioactive compounds as anti-aging drugs.” Molecules 27.7 (2022): 2316.