Lors de notre dernière lettre d’information, nous vous avons parlé de notre volonté de comprendre les mécanismes d’action et de mesurer des paramètres ainsi que des biomarqueurs importants. Cette démarche nous permet de quantifier l’impact concret sur les performances motrices et cognitives, avec des effets observables très rapidement après les premières prises.
Dans cette nouvelle édition, nous allons essayer de comprendre comment ces biomarqueurs améliorés agissent sur notre organisme également sur le long terme. Car les utilisateurs d’AtremoPlus rapportent qu’ils ont des effets rapides dans tous les compartiments liés au manque de dopamine, mais qu’en est-il des effets sur le long terme ?
Dans la première partie, nous présenterons ces effets de stabilité en prenant l’un de nos nombreux témoignages. Aujourd’hui, nous pouvons en effet tirer certaines conclusions des effets qui s’installent sur plusieurs années, voire bientôt une décennie.
Dans la seconde partie, nous verrons que la stabilité est la troisième phase des améliorations observées avec Atremoplus
Enfin dans la troisième partie, nous essaierons de comprendre certains des mécanismes qui pourraient être à l’origine de la stabilité à long terme.
1- Les effets de stabilité à long terme observés suite à la prise d’AtremoPlus
La stabilité est un sujet qui nous occupe depuis quelques années. Précisément depuis 4-5 ans quand on a commencé à recevoir des témoignages de nos clients qui nous disaient « mon neurologue est surpris, car depuis 3 ans que je prends AtremoPlus, il n’a toujours pas besoin d’augmenter ma dose de L-dopa chimique et je me porte bien ».
Le temps passant, le phénomène de stabilité s’est amplifié et toutes les semaines des personnes nous font partager leur joie de constater que leur état est assez stationnaire depuis qu’elles prennent AtremoPlus.
Dans la phase initiale qui a suivi le lancement de notre L-dopa/Carbidopa végétale en 2016, nous étions davantage focalisés sur les effets rapides et immédiats, et même si les études précliniques avaient montré un puissant potentiel de protection antioxydante, laissant pressentir une bonne stabilité des personnes dans le temps, notre priorité était de communiquer sur ces effets rapides et immédiats.
Un témoignage typique qui relate la stabilité
C’est cette semaine, lors d’une discussion avec une ancienne cliente qui nous a dit « (…) mais imaginez comme c’est formidable ! » qu’il nous est paru évident qu’on devait davantage communiquer sur cet autre bienfait d’AtremoPlus.
Penchons-nous sur le cas de cette personne que nous remercions chaleureusement et qui se reconnaitra certainement.
Il y a plus de trois ans, son mari a commencé à montrer de petits signes parkinsoniens, comme une diminution de la motricité fine avec un manque de précision dans ses gestes et de légers tremblements occasionnels.
Leur médecin ne souhaitant pas donner de traitement à ce stade, ils ont trouvé avec AtremoPlus la variante végétale de L-Dopa/Carbidopa, en allant sur internet. Avant de commander, ils ont demandé au médecin si la prise d’AtremoPlus serait indiquée, et celui-ci a confirmé que cela pourrait être bénéfique.
Depuis, elle observe avec impuissance comment certains de ses amis atteints de Parkinson et qui ne prennent pas AtremoPlus se détériorent avec une rapidité déconcertante, alors que son mari lui reste stable.
L’un de nos arguments qui leur avait également donné envie d’essayer, était « si au bout d’un mois, vous n’avez pas les effets escomptés, ce n’est pas la peine de continuer ».
Nous reconnaissons aujourd’hui que cette information est incomplète. Bien que la plupart des personnes ressentent les effets dès les quatre premières semaines en prenant 10g d’AtremoPlus par jour, cette perspective reste néanmoins réductrice puisqu’elle ne prend pas en compte les effets à moyens et longs termes que nous observons avec le recul (voir ci-dessous).
Comme son mari n’avait pas de gros symptômes, il est resté uniquement avec 2 dosettes le matin depuis trois ans et demi. Non seulement il se sent mieux, étant plus sûr et précis dans ses gestes, mais ils constatent que sa situation est stable depuis toutes ces années. D’où ses paroles au téléphone, « imaginez comme c’est formidable ! »
2 – La stabilité est la troisième phase des améliorations observées avec AtremoPlus
Les scientifiques nous disent que cela est dû, entre autres, au fait que les neurones dopaminergiques dans le cerveau des personnes atteintes continuent de se dégrader, réduisant ainsi la capacité de produire de la dopamine dans le cerveau et nécessitant un apport extérieur plus important en L-dopa. D’autres raisons sont également évoquées, comme une diminution des capacités d’absorption due à divers dysfonctionnements physiologiques.
Finalement, après un certain temps, les médecins disent qu’ils ont atteint la limite de la prescription des doses de L-dopa chimique supportées par l’organisme. Le patient rentre alors, plus ou moins rapidement dans des stades plus avancés de Parkinson, avec une augmentation des symptômes liés à la maladie et les effets secondaires, répertoriés dans les notices des médicaments.
Bien sûr, chaque situation est individuelle, et il y a certainement autant de variantes de Parkinson que de personnes ayant Parkinson, mais c’est une tendance qui est généralement observée par la science.
C’est pour cette raison qu’on nous demande régulièrement si avec AtremoPlus c’est comme avec la L-dopa chimique, au départ tout va bien puis l’effet de la L-dopa diminue plus ou moins rapidement. Notre réponse est non.
Avec un recul de 8 ans, il est remarquable de constater que le phénomène de perte d’efficacité progressive n’est généralement pas observé avec les principes actifs de L-dopa/Carbidopa naturellement présents dans la plante Vicia faba.
Les 3 phases d’améliorations : court terme, moyen terme et long terme
Même si chaque situation est individuelle, nous pouvons généralement observer que les améliorations sont visibles à court terme, moyen terme et long terme :
- Première phase à court terme : Elle consiste habituellement en une amélioration rapide et perceptible de la plupart des paramètres moteurs, cognitifs et énergétiques. Pour certains, ces améliorations se manifestent dès les premières heures de la prise, tandis que pour d’autres, cela peut prendre entre 2 et 4 semaines. Il peut y avoir des résistances dans certains domaines spécifiques, mais en général, la situation s’améliore nettement.
Cette phase initiale constitue un excellent indicateur des attentes à court terme, et elle est liée à la capacité des utilisateurs à métaboliser la L-dopa/Carbidopa d’origine naturelle.
- Deuxième phase à moyen terme : Durant cette phase, qui dure environ 6 à 12 mois, des améliorations additionnelles se manifestent habituellement, stimulées aussi par un cercle vertueux. Une synergie s’installe, car ressentir plus d’énergie et de motivation encourage à faire plus d’activités, ce qui permet de constater des progrès et d’envisager de meilleures perspectives. Cela incite à faire encore plus d’activités et ainsi de suite. Et, avec les bons principes actifs, cela devient souvent plus atteignable. Les personnes sont plus enclines à agir par envie d’entreprendre que par obligation de devoir bouger.
- Troisième phase à long terme : Nous avons de plus en plus de retours concernant cette phase qui se traduit par une stabilité sur de longues périodes, allant jusqu’à 8 ans pour nos utilisateurs les plus anciens. Ils rapportent avoir retrouvé une meilleure et durable qualité de vie. Même leurs neurologues sont ravis de constater qu’après une réduction initiale progressive de la L-Dopa chimique d’environ 25-50 %, leurs patients restent très stables sur de longues périodes, sans nécessiter de modifications des dosages. Ils se portent relativement bien, certains même très bien, compte tenu de la situation.
Nous tenons à souligner que c’est une observation générale. Elle est basée sur les retours d’un certain nombre d’utilisateurs d’AtremoPlus et de certains de leurs neurologues. Nous ne cherchons pas à généraliser ces résultats, car chaque situation est individuelle et dépend de nombreux paramètres qui influencent la santé et le vieillissement. Chaque expérience avec notre produit est unique. Nous ne prétendons par ailleurs jamais ici que la maladie de Parkinson est curable.
Toutefois, nous nous joignons aux dernières découvertes de la science et notamment des neurosciences, qui révèlent chaque jour un peu plus le phénomène de plasticité du cerveau. Voir ci-dessous.
3 – Les mécanismes qui pourraient être à l’origine de la stabilité à long terme
A. Une réduction de l’oxydationLa première caractéristique notable est sans aucun doute le puissant effet antioxydant des principes actifs extraits de la plante Vicia faba. AtremoPlus ne se contente pas seulement de fournir de la L-dopa/Carbidopa, mais tire également parti des propriétés antioxydantes reconnues de ces principes actifs, largement documentées par des équipes scientifiques à travers le monde. Des restrictions réglementaires ne nous permettent pas de les mentionner spécifiquement sur l’étiquette en raison de leurs concentrations individuelles trop faibles, mais leur synergie est essentielle.
Parmi les composants que nous pouvons mentionner figurent les acides aminés, les polyphénols, les caroténoïdes, les flavonoïdes, les minéraux tels que le zinc, le manganèse, ainsi que les vitamines A, B, C, D et E. Cette dernière est présente pour répondre à la dose journalière recommandée et elle est reconnue pour ses propriétés antioxydantes par les autorités réglementaires.
En essence, ces antioxydants aident à réduire l’oxydation dans l’organisme. Ce processus naturel génère des radicaux libres qui, au fil du temps, endommagent les tissus sains, y compris les neurones. Avec l’âge, ce phénomène peut s’accélérer d’où la nécessité d’antioxydants qui, transférant ses électrons en excès, neutralisent les radicaux libres avant qu’ils ne causent des dommages.
Pour ceux d’entre vous qui n’auraient pas encore regardé notre vidéo sur ce sujet fondamental, et qui permet de comprendre un paramètre important de la dégénérescence et ainsi de Parkinson, vous pouvez la visionner en cliquant ici.
Il est également pertinent de noter que l’oxydation excessive dans l’organisme génère en cascade un deuxième phénomène dommageable : l’inflammation chronique. Cette dernière, à son tour, peut engendrer des douleurs et accélérer la dégradation des tissus y inclus des neurones en cas de neuro-inflammation chronique. Les puissants effets anti-inflammatoires des principes actifs peuvent jouer un rôle important dans la stabilité.
C – Une amélioration de la méthylation globale
Un troisième élément important est certainement l’amélioration des biomarqueurs de la méthylation globale, qui contribue à améliorer le bon dépliement des protéines dans le cerveau.
Les protéines mal dépliées ont tendance à former des agrégats et des plaques dans le cerveau.
D – Une diminution des marqueurs de stress
Lors de notre étude clinique, nous avons observé une amélioration des marqueurs de stress tels que le cortisol. La gestion du stress est cruciale car, à long terme, une bonne gestion de toute forme de stress favorise la stabilité et la qualité de vie.
E – Des principes actifs connus pour favoriser la plasticité du cerveau
Enfin, la plasticité du cerveau pourrait faire partie des éléments pour expliquer cette stabilité dans le temps.
Pour rappel, la plasticité du cerveau se réfère à la capacité de notre cerveau à se remodeler et à s’adapter tout au long de la vie. Ce processus se déclenche grâce aux expériences, à l’apprentissage, à l’exercice, aux blessures, mais aussi en réponse à la dégénérescence, particulièrement si nous sommes en mesure d’endiguer ce processus.
La plasticité permet au cerveau de reconfigurer ses connexions neuronales et de compenser les dommages, favorisant ainsi le développement cognitif et la récupération après des lésions ou des dégénérescences.
Pour mesurer la plasticité cérébrale, la science utilise, entre autres, le BDNF (Brain-Derived Neurotrophic Factor), une protéine clé dans la régulation du maintien de la croissance et de la survie des neurones (…)
Des principes actifs comme les polyphénols, les caroténoïdes, les flavonoïdes, certaines vitamines (groupes B, C, D, E) et les acides aminés, présents également dans la Vicia faba, ont été identifiés dans de nombreuses études scientifiques à travers le monde pour leur capacité à stimuler la production de BDNF.
Pour plus d’information sur la plasticité du cerveau, vous pouvez cliquer sur notre lettre d’information numéro 9 ci- dessous.
Soutenir la stabilité dans le temps est essentiel
Il est important de se rendre compte que le curseur de la vitesse de dégradation de notre corps n’est pas un phénomène que nous devons subir impuissamment.
Une multitude d’études émergent qui nous disent le contraire, l’exercice, la nutrition et plus largement les éléments que vous donnez à votre corps jouent un rôle prépondérant. Et, chez AtremoPlus, nous serons toujours des ambassadeurs du paradigme de regain de terrain.
Nous espérons que cette lettre d’information enrichira votre compréhension ou ravivera votre intérêt concernant le phénomène de stabilité, observé de plus en plus par les utilisateurs d’AtremoPlus et leurs neurologues. Car cette stabilité, tant appréciée, est précieuse.
Nous souhaitons que ce soit également le cas pour vous qui démarrez, afin de pouvoir vous engager plus sereinement dans de nouvelles activités ou de poursuivre celles que vous affectionnez, à votre propre rythme.
Contribuer à améliorer la qualité de vie des utilisateurs d’AtremoPlus afin de profiter des petits bonheurs au quotidien reste une priorité, et pour cela nous sommes ravis de vous accompagner dans la durée avec AtremoPlus.
Ce contenu peut être important pour les personnes qui ont besoin de cette solution naturelle. Merci de partager !
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