Parkinson Partie 2: Préparer le terrain pour réveiller les cellules souches et favoriser la plasticité cérébrale !

1 – Bien préparer le terrain 

Pour optimiser la situation – c’est-à-dire préserver et réveiller les cellules souches dormantes – il est essentiel de créer un terrain fertile favorisant l’épanouissement de nos cellules souches neuronales.
C’est un peu comme préparer un jardin pour une floraison abondante ou une récolte généreuse : il faut nourrir le sol avec les bons nutriments, l’arroser régulièrement, et s’assurer que chaque graine reçoive suffisamment de lumière et d’air pour s’épanouir. De la même manière, nos cellules souches ont besoin d’un environnement cérébral sain pour prospérer. 
 
A. Réduire le stress oxydatif… et diminuer l’inflammation chronique 
Ces deux aspects jouent également un rôle clé dans le fonctionnement des cellules souches. Cependant, nous les avons déjà abordés à plusieurs reprises (voir les précédentes lettres d’information accessibles ci-dessous), c’est pourquoi nous ne les approfondirons pas davantage dans cette édition.
Pour résumer, les réservoirs de cellules souches sont vulnérables au stress oxydatif, et l’inflammation chronique qui en résulte nuit à la fois à leur préservation et au réveil des cellules souches dormantes.
Ainsi, une alimentation riche en antioxydants, ces composés qui neutralisent les radicaux libres, peut jouer un rôle essentiel pour contrer ce phénomène. Les baies, les légumes colorés et le thé vert sont d’excellentes sources d’antioxydants.
A savoir que les principes actifs responsables de la couleur des légumes, des fruits et des épices possèdent souvent des propriétés bénéfiques pour la protection des cellules.
La plante Vicia faba, qui constitue la base du complément alimentaire AtremoPlus, contient divers principes actifs, notamment des vitamines (A, groupe B, C, D, E), des flavonoïdes, des polyphénols, certains acides aminés, ainsi que des minéraux comme le zinc, connus pour leurs propriétés antioxydantes et/ou anti-inflammatoires. Ces éléments sont également reconnus pour leur rôle dans l’épanouissement des cellules souches
 
B.  L’importance des facteurs de croissance… 

Note : Ce sujet ne pouvait pas être présenté sans un minimum de données scientifiques, n’hésitez pas à lire uniquement les grandes lignes ou vous rendre directement au point suivant sur la Plasticité cérébrale, si vous le souhaitez.

Les facteurs de croissance comme NGF (Nerve Growth Factor)BDNF (Brain-Derived Neurotrophic Factor) et d’autres neurotrophines jouent un rôle essentiel dans la régulation des cellules souches, notamment dans le cerveau. Par ailleurs le GDNF (Glial cell line-derived neurotrophic factor) joue un rôle clé dans la survie des neurones dopaminergiques, ce qui est crucial dans le contexte de Parkinson.
Ces facteurs de croissance stimulent : 

  1. la prolifération (multiplication par division cellulaire) des cellules souches. 
  2. La différenciation des cellules souches en cellules spécialisées. 
  3. La protection et la survie des cellules souches (notamment contre le stress oxydatif et l’inflammation chronique). 
  4. La neurogenèseen particulier dans l’hippocampe et le striatum, zones impliquées dans la mémoire, l’apprentissage et le mouvement.

Le BDNF est essentiel à la plasticité cérébrale, en favorisant la récupération après des lésions neurologiques et la réparation du système nerveux.
Mais, encore une fois, pour produire du BDNF et d’autres facteurs de croissance, l’organisme a besoin d’ingrédients spécifiques, et la Vicia faba en regorge.
C’est un peu comme une recette de cuisine : pour faire un gâteau, il faut des ingrédients précis. De la même façon, pour fabriquer des neurones, il faut les composants adéquats.
Les facteurs de croissance agissent comme des messagers biologiques qui disent aux cellules souches où, quand et comment se multiplier, se différencier et se protéger.

👉 Dans des maladies comme Parkinson, où les neurones dopaminergiques dégénèrent, ces facteurs sont essentiels pour stimuler la régénération cellulaire et protéger les cellules souches neuronales encore actives. 

 

C)    Le mauvais repliement des protéines perturbe la fonction des cellules souches
L’accumulation de protéines mal repliées ou agrégées peut interférer avec la maintenance, la prolifération et la différenciation des cellules souches.
  • Épuisement des cellules souches : Les protéines mal repliées peuvent altérer la capacité d’auto-renouvellement des cellules souches, accélérant ainsi le vieillissement et la perte de régénération.
  • Perte de fonction : Les cellules souches ont besoin d’un équilibre précis pour se différencier en cellules spécialisées. Les protéines mal repliées peuvent perturber cet équilibre, affectant la production de nouvelles cellules fonctionnelles.
🧠 Exemple: Dans la maladie de Parkinson, l’agrégation de l’α-synucléine peut altérer le fonctionnement des cellules souches neuronales, réduisant ainsi leur capacité à générer de nouveaux neurones dopaminergiques.
 
On peut constater une certaine forme d’interdépendance bidirectionnelle :
  • Les protéines mal repliées peuvent altérer les cellules souches, réduisant leur capacité de régénération.
  • Des cellules souches saines aident à lutter contre le mauvais repliement des protéines, en favorisant la réparation cellulaire et la neuroprotection.
  • Le vieillissement et certaines maladies augmentent la charge de protéines mal repliées, contribuant à épuiser progressivement les cellules souches.

Pour limiter ce processus, une meilleure lisibilité et une expression génétique optimisée sont cruciales. Ces améliorations peuvent être influencées par des mécanismes épigénétiques, qui régulent l’expression des gènes de manière positive. Notre équipe scientifique a montré que le biomarqueur de méthylation globale peut rendre les « scripts » génétiques à nouveau lisibles, facilitant ainsi le bon dépliement des protéines et réduisant progressivement l’accumulation de ces agrégats toxiques (voir lettre d’information spécifique numéro 10 ci-dessous).

En résumé, vous pouvez d’ores et déjà agir en consommant des ingrédients essentiels, capables de lutter contre le stress oxydatif et l’inflammation chronique, des éléments clés pour la production des facteurs de croissance et le bon repliement des protéines, indispensables à la santé cérébrale.
Bien que tous les mécanismes de ces ingrédients actifs dans la Vicia faba ne soient pas encore totalement élucidés, de nombreux clients rapportent une nette amélioration dans plusieurs aspects de leur bien-être. 

2 – La plasticité cérébrale à travers la loi de l’Hormèse

Maintenant que nous avons vu comment vous pouvez agir et fournir à votre organisme les ingrédients actifs essentiels pour protéger les réservoirs de vos cellules souches et favoriser leur activation, passons à l’étape suivante.

Le deuxième élément clé pour créer de nouveaux neurones et synapses, et ainsi renforcer votre plasticité cérébrale, repose sur votre activité physique et mentale. En agissant vous pouvez façonner de nouvelles réalités cérébrales.

Subir la situation de dégénéresence avec une certaine passivité, est une posture à éviter. Il est essentiel de signaler à votre cerveau et à votre corps qu’ils ont besoin de nouvelles ressources neuronales pour accomplir diverses activités cérébrales et physiques.

Pour y parvenir, il est essentiel de sortir progressivement de votre zone de confort en tirant parti de la loi de l’Hormèse, un phénomène fascinant qui montre qu’une exposition modérée à un stress ou un défi peut renforcer les capacités d’un organisme et améliorer son adaptation. 

Ce principe s’applique également au cerveau : lorsqu’il est stimulé de manière contrôlée, il ne se contente pas de s’adapter, mais renforce aussi ses mécanismes de protection et de régénération.
Appliquer le principe de l’Hormèse consiste à pousser ses limites personnelles, à sortir brièvement de sa zone de confort puis à s’accorder un temps de récupérationDès lors qu’on atteint ses limites, le corps se renforce pour s’adapter et augmenter ses capacités.

Dans le cadre de la maladie de Parkinson, cette idée est étroitement liée à la plasticité cérébrale, c’est-à-dire la capacité du cerveau à créer de nouvelles connexions neuronales, à compenser les fonctions perdues et à s’adapter à de nouvelles situations. 
Des activités comme l’exercice physique, les apprentissages cognitifs, ou encore des défis moteurs peuvent déclencher cette plasticité, en mobilisant les mécanismes naturels de réparation et en favorisant la production de nouveaux neurones.

Toutefois, pour que cette stimulation soit bénéfique, elle doit respecter un équilibre. Un stress trop intense ou prolongé peut avoir l’effet inverse, en épuisant les réserves du cerveau. L’idée est de progresser à son propre rythme, en augmentant progressivement la difficulté des tâches ou des exercices, afin de stimuler la résilience et l’adaptabilité du cerveau et du corps, tout en évitant les risques de surmenage. Prenez le temps d’entendre ce qui vous met en joie, offrez à votre corps de nouvelles manières d’agir, tout en restant attentif à ce qui lui fait du bien.

En s’appuyant sur la loi de l’Hormèse, le cerveau ne doit pas être vu comme un organe figé, mais plutôt comme une entité vivante et dynamique, capable de s’adapter et de se renforcer face aux défis appropriés.
L’idée de la plasticité cérébrale peut devenir un formidable moteur, non seulement pour ralentir la perte de fonctions, mais aussi pour retrouver certaines capacités. Grâce à des stimulations ciblées, un environnement favorable et une approche équilibrée, il est possible d’exploiter pleinement ce potentiel d’adaptation et de régénération.

Quelle que soit l’ampleur du progrès réalisé, chaque avancée a son importance, de la plus simple comme réussir à s’habiller seul à nouveau, reprendre un sport, jardiner, améliorer sa concentration sur un sudoku, partager un moment de jeu de ballon avec ses petits-enfants, jusqu’à « gravir un glacier dans les Alpes, accompagné de ma fille, d’un rollator et de personnes bienveillantes ». (Témoignage d’une de nos clientes qui prend AtremoPlus depuis quelques années et qui était régulièrement en fauteuil roulant auparavant).

Un point particulièrement intéressant à noter est que de nombreux utilisateurs d’AtremoPlus rapportent ressentir un véritable extra-boost d’énergie, rendant l’initiation des actions moins laborieuse et plus motivante.
Il est vrai que pour nous challenger et tirer pleinement parti de la loi de l’Hormèse, nous avons besoin d’énergie. Ce regain d’énergie fréquemment observé chez les utilisateurs d’AtremoPlus s’explique non seulement par une augmentation des taux de dopamine dans le cerveau, mais aussi par une hausse significative de la noradrénaline (en moyenne +26 %) (voir lettre d’information numéro 24 ci-dessous à ce sujet). Cette élévation de la noradrénaline favorise une meilleure concentration, davantage d’énergie, une amélioration de l’humeur et du bien-être, tout en contribuant à réduire le stress et à améliorer la qualité du sommeil.

En essence, la loi de l’Hormèse répond à une question cruciale pour regagner du terrain et réveiller vos réservoirs de cellules souches dormantes :

👉 Pourquoi votre corps devrait-il développer de nouvelles aptitudes ou récupérer celles perdues, si vous ne lui en faites pas la demande?

👉 Pourquoi activerait-il ces capacités si vous ne lui montrez pas par des exercices physiques et/ou cérébraux, que cette sollicitation est réelle, et que vous souhaitez réellement progresser dans ce domaine?

Il est essentiel de trouver vos propres méthodes et d’identifier la façon dont vous pouvez challenger votre cerveau, afin de lui signaler le besoin en nouveaux neurones et favoriser son adaptation.
Pour vous donner des idées encore plus concrètes sur la stimulation du réveil de vos cellules souches dormantes et l’optimisation de la plasticité cérébrale, notre prochaine lettre d’information sera entièrement dédiée aux exercices et méthodes, souvent ludiques et agréables, accompagnés d’études scientifiques démontrant leurs bienfaits.

Et la bonne nouvelle, c’est qu’il y en aura pour tout le monde ! Certaines activités ont prouvé leur efficacité avec peu d’efforts, et sont parfaitement adaptées également aux personnes très âgées. 

Bien sûr, cette lettre d’information n’est pas destinée à donner un avis médical. Pour toute question d’ordre médical, veuillez demander à votre professionnel de santé. 

 

 

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Avis de non-responsabilité :
Veuillez noter que ce blog fournit des informations sur notre complément alimentaire AtremoPlus et sur des sujets connexes.

Ce blog n’est pas destiné à fournir des conseils médicaux.
Si vous avez des questions d’ordre médical, veuillez contacter votre professionnel de la santé.

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