Maintenant que nous avons vu comment vous pouvez agir et fournir à votre organisme les ingrédients actifs essentiels pour protéger les réservoirs de vos cellules souches et favoriser leur activation, passons à l’étape suivante.
Le deuxième élément clé pour créer de nouveaux neurones et synapses, et ainsi renforcer votre plasticité cérébrale, repose sur votre activité physique et mentale. En agissant vous pouvez façonner de nouvelles réalités cérébrales.
Subir la situation de dégénéresence avec une certaine passivité, est une posture à éviter. Il est essentiel de signaler à votre cerveau et à votre corps qu’ils ont besoin de nouvelles ressources neuronales pour accomplir diverses activités cérébrales et physiques.
Pour y parvenir, il est essentiel de sortir progressivement de votre zone de confort en tirant parti de la loi de l’Hormèse, un phénomène fascinant qui montre qu’une exposition modérée à un stress ou un défi peut renforcer les capacités d’un organisme et améliorer son adaptation.
Ce principe s’applique également au cerveau : lorsqu’il est stimulé de manière contrôlée, il ne se contente pas de s’adapter, mais renforce aussi ses mécanismes de protection et de régénération.
Appliquer le principe de l’Hormèse consiste à pousser ses limites personnelles, à sortir brièvement de sa zone de confort puis à s’accorder un temps de récupération. Dès lors qu’on atteint ses limites, le corps se renforce pour s’adapter et augmenter ses capacités.
Dans le cadre de la maladie de Parkinson, cette idée est étroitement liée à la plasticité cérébrale, c’est-à-dire la capacité du cerveau à créer de nouvelles connexions neuronales, à compenser les fonctions perdues et à s’adapter à de nouvelles situations.
Des activités comme l’exercice physique, les apprentissages cognitifs, ou encore des défis moteurs peuvent déclencher cette plasticité, en mobilisant les mécanismes naturels de réparation et en favorisant la production de nouveaux neurones.
Toutefois, pour que cette stimulation soit bénéfique, elle doit respecter un équilibre. Un stress trop intense ou prolongé peut avoir l’effet inverse, en épuisant les réserves du cerveau. L’idée est de progresser à son propre rythme, en augmentant progressivement la difficulté des tâches ou des exercices, afin de stimuler la résilience et l’adaptabilité du cerveau et du corps, tout en évitant les risques de surmenage. Prenez le temps d’entendre ce qui vous met en joie, offrez à votre corps de nouvelles manières d’agir, tout en restant attentif à ce qui lui fait du bien.
En s’appuyant sur la loi de l’Hormèse, le cerveau ne doit pas être vu comme un organe figé, mais plutôt comme une entité vivante et dynamique, capable de s’adapter et de se renforcer face aux défis appropriés.
L’idée de la plasticité cérébrale peut devenir un formidable moteur, non seulement pour ralentir la perte de fonctions, mais aussi pour retrouver certaines capacités. Grâce à des stimulations ciblées, un environnement favorable et une approche équilibrée, il est possible d’exploiter pleinement ce potentiel d’adaptation et de régénération.
Quelle que soit l’ampleur du progrès réalisé, chaque avancée a son importance, de la plus simple comme réussir à s’habiller seul à nouveau, reprendre un sport, jardiner, améliorer sa concentration sur un sudoku, partager un moment de jeu de ballon avec ses petits-enfants, jusqu’à « gravir un glacier dans les Alpes, accompagné de ma fille, d’un rollator et de personnes bienveillantes ». (Témoignage d’une de nos clientes qui prend AtremoPlus depuis quelques années et qui était régulièrement en fauteuil roulant auparavant).
Un point particulièrement intéressant à noter est que de nombreux utilisateurs d’AtremoPlus rapportent ressentir un véritable extra-boost d’énergie, rendant l’initiation des actions moins laborieuse et plus motivante.
Il est vrai que pour nous challenger et tirer pleinement parti de la loi de l’Hormèse, nous avons besoin d’énergie. Ce regain d’énergie fréquemment observé chez les utilisateurs d’AtremoPlus s’explique non seulement par une augmentation des taux de dopamine dans le cerveau, mais aussi par une hausse significative de la noradrénaline (en moyenne +26 %) (voir lettre d’information numéro 24 ci-dessous à ce sujet). Cette élévation de la noradrénaline favorise une meilleure concentration, davantage d’énergie, une amélioration de l’humeur et du bien-être, tout en contribuant à réduire le stress et à améliorer la qualité du sommeil.
En essence, la loi de l’Hormèse répond à une question cruciale pour regagner du terrain et réveiller vos réservoirs de cellules souches dormantes :
👉 Pourquoi votre corps devrait-il développer de nouvelles aptitudes ou récupérer celles perdues, si vous ne lui en faites pas la demande?
👉 Pourquoi activerait-il ces capacités si vous ne lui montrez pas par des exercices physiques et/ou cérébraux, que cette sollicitation est réelle, et que vous souhaitez réellement progresser dans ce domaine?
Il est essentiel de trouver vos propres méthodes et d’identifier la façon dont vous pouvez challenger votre cerveau, afin de lui signaler le besoin en nouveaux neurones et favoriser son adaptation.
Pour vous donner des idées encore plus concrètes sur la stimulation du réveil de vos cellules souches dormantes et l’optimisation de la plasticité cérébrale, notre prochaine lettre d’information sera entièrement dédiée aux exercices et méthodes, souvent ludiques et agréables, accompagnés d’études scientifiques démontrant leurs bienfaits.
Et la bonne nouvelle, c’est qu’il y en aura pour tout le monde ! Certaines activités ont prouvé leur efficacité avec peu d’efforts, et sont parfaitement adaptées également aux personnes très âgées.
Bien sûr, cette lettre d’information n’est pas destinée à donner un avis médical. Pour toute question d’ordre médical, veuillez demander à votre professionnel de santé.