Dans ce nouveau portrait, nous avons le plaisir de mettre en lumière Birgit Lange, diagnostiquée à seulement 37 ans de la maladie de Parkinson. Déléguée régionale de l’Association allemande de Parkinson, Birgit transforme son combat à travers ses actions et responsabilités au sein de l’Antenne de Moers, mais aussi par l’écriture de deux livres inspirants sur Parkinson. En 23 ans de maladie, Birgit a accepté différentes solutions thérapeutiques y inclus la stimulation cérébrale profonde (SCP). Sa découverte d’Atremoplus a été tellement positive qu’elle a souhaité parler de son expérience aujourd’hui.
| Portrait client : Une vie de lutte créative contre la maladie de Parkinson Birgit Lange, née en 1965 à Kranenburg près de Kleve, n’aurait jamais pu imaginer que sa vie prendrait un tel tournant radical. Au milieu de la trentaine, en pleine carrière en tant qu’agent comercial, elle reçoit un diagnostic qui allait changer sa vie à jamais : la maladie de Parkinson. « Je me souviens encore bien du jour où j’ai reçu le diagnostic. J’étais choquée, paralysée par la nouvelle », se rappelle Birgit. À cette époque, elle était déjà mère d’une petite fille, ce qui rendait la nouvelle d’autant plus accablante. Un combat difficile, mais pas seul Les premiers signes de la maladie se sont manifestés au bureau : une main crispée, une écriture illisible, et bientôt tout son bras droit était affecté. « Je me sentais vieillir de plusieurs années, mes mouvements étaient lents, désordonnés, et je ressentais une rigidité croissante dans tout mon corps », raconte-t-elle. Les douleurs se sont ajoutées à ces symptômes, rendant chaque jour un véritable défi. Heureusement, Birgit a pu compter sur le soutien indéfectible de sa famille et de ses amis. « Sans eux, je n’aurais jamais pu surmonter ces moments difficiles », dit-elle avec reconnaissance. Ce réseau de soutien a été crucial pour l’aider à accepter sa nouvelle réalité et à trouver des moyens de la gérer. Une nouvelle mission : Aider les autres La découverte du groupe d’entraide dPV (association Allemande contre le Parkinson) de la ville de Moers par un flyer chez son neurologue a marqué un tournant dans sa lutte contre la maladie. « Je me suis plongée dans des livres spécialisés et toutes les sources d’information que je pouvais trouver », se souvient Birgit. Elle s’est surtout intéressée au rôle du sport dans la gestion de la maladie, car l’exercice s’est révélé être l’un des meilleurs moyens de stopper ou du moins de ralentir la dégradation physique. « Lorsque j’ai eu l’occasion de suivre une formation d’entraîneur en neurologie auprès du BRSNW (Fédération de sport pour personnes handicapées), je n’ai pas hésité », raconte Birgit. Aujourd’hui, elle est non seulement entraîneuse, mais elle dirige également le groupe régional de la dPV (Association allemande de Parkinson) à Moers. « Il est essentiel de lutter ensemble et de se soutenir mutuellement », souligne-t-elle. Cet engagement lui a permis de transformer son propre combat contre la maladie en une mission pour aider aussi les autres. AtremoPlus : Un nouveau souffle dans la lutte contre Parkinson Birgit a entendu parler d’AtremoPlus pour la première fois par un e-mail qui parlait des effets positifs d’AtremoPlus, même pour les personnes en fin de parcours thérapeutique. « D’habitude, je suis plutôt sceptique vis-à-vis des compléments alimentaires, mais cet e-mail est arrivé à un moment où j’étais de nouveau très stressée par le “freezing” et la baisse d’efficacité des médicaments », se souvient Birgit. Après une stimulation cérébrale profonde (SCP) en 2013 pour lutter contre les fluctuations des médicaments, Birgit a en effet été confrontée à la réapparition des symptômes, notamment les épisodes de “freezing” et une diminution de l’efficacité des médicaments. En mai 2024, elle décide finalement d’essayer AtremoPlus. « Je me suis dit, dans ma situation, je ne peux qu’y gagner », avoue-t-elle. Mais lorsqu’elle a vu le produit pour la première fois, son enthousiasme a disparu en voyant et en sentant le contenu. « Ce n’était pas facile de préparer la poudre », raconte-t-elle. « L’odeur du produit n’était pas particulièrement agréable. Mais ma grand-mère disait toujours : ” Un médicament qui a bon goût ne soigne jamais ! ” Alors, on n’y va pour ce complément alimentaire.. », s’est-elle dit. Mélangé avec de la compote de pommes, le goût était finalement assez bien masqué, et à sa grande surprise, Birgit a ressenti une amélioration notable après seulement 35 à 40 minutes. « J’ai ressenti un regain de motivation et j’étais assez étonnée. J’ai tout de suite envoyé un mail à Alex pour lui demander si c’était vraiment possible. » « Que dire ? » a-t-elle écrit. « Je prends la poudre depuis une semaine, je suis extrêmement enthousiaste… mais j’ai du mal à y croire ! Car, j’ai Parkinson depuis 23 ans et j’ai maintenant une stimulation cérébrale profonde. Pourquoi personne ne parle de cette poudre, alors que j’aurais pu l’essayer plus tôt ?! » Mais ce n’était que le début. « J’avais de nouveau une écriture plus lisible et des mouvements améliorés, ce qui m’a vraiment surprise », raconte Birgit. Ces premiers résultats encourageants ont renforcé sa détermination à continuer avec AtremoPlus. Après une semaine d’utilisation, son état s’est encore amélioré et Birgit rapporte : « Moins de freezing, presque plus de rigidité, des transitions plus douces (plus de ON et OFF) et mon moral est au top. » Une amélioration continue et un message d’espoir Quelques jours après que Birgit ait commencé à utiliser AtremoPlus avec des résultats positifs, Alex lui a signalé que les retours des utilisateurs d’AtremoPlus montrent souvent une amélioration continue au fil des semaines et des mois, et que les neurologues sont souvent surpris par la rapidité des résultats et aussi la stabilité des utilisateurs sur de longues périodes. « Je rend à nouveau visite à des amis, je me sens capable de faire plus de choses, je suis de retour au centre (et non plus à la marge) », se réjouit-elle. Son quotidien est simple mais efficace : « Je prends ma dose le matin et ensuite je prends AtremoPlus l’après-midi, et cela fonctionne très bien. Je mélange toujours la poudre avec de la compote de pommes. » Pour les autres personnes atteintes de Parkinson, Birgit souligne l’importance de rester en mouvement – physiquement et émotionnellement. « Il est essentiel de rester en mouvement. En tant qu’entraîneuse, je recommande bien sûr l’exercice physique, mais il faut aussi rester actif émotionnellement, ne pas se cacher, mais rester intéressé par la vie. » Birgit a partagé son enthousiasme pour AtremoPlus non seulement avec son groupe d’entraide pour Parkinson à Moers, mais aussi avec d’autres responsables de groupes de l’Association allemande de Parkinson (dPV) au sujet de ses expériences positives avec AtremoPlus. Pour elle, l’effet positif d’AtremoPlus, même après 23 ans de lutte contre la maladie, est un message d’espoir qui doit être largement diffusé. Un combat créatif contre Parkinson En plus de son travail en tant qu’entraîneuse sportive, Birgit a également écrit deux livres dans lesquels une petite tortue nommée GINA (acronyme de “Gib nicht auf” traduit « N’abandonne pas ») joue le rôle principal – une métaphore de sa propre décision de ne jamais abandonner. « C’est ma manière de lutter contre Parkinson, mais chacun doit trouver la sienne. » « Pour moi, cette fichue maladie est comme un ‘squatteur’ dans ma tête », conclut Birgit, « et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour expulser ce ‘squatteur’. Qui sait, peut-être qu’AtremoPlus y contribuera continuellement aussi. » Nous souhaitons à Birgit beaucoup de succès et de continuer à vivre des expériences longues et positives, y compris avec AtremoPlus. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur son travail, vous pouvez contacter directement Birgit: http://bila-bewegt.de/wer-ist- |
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Avis de non-responsabilité :
Veuillez noter que ce blog fournit des informations sur notre complément alimentaire AtremoPlus et sur des sujets connexes.
Ce blog n’est pas destiné à fournir des conseils médicaux.
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